Environnement
Publié le 12/06/2020
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Préserver la biodiversité, on a tous à y gagner !
Le 5 juin dernier, la journée mondiale de l’environnement alertait la planète entière sur l’urgence de sauvegarder la biodiversité. De fait, malgré toutes nos avancées technologiques, nous restons totalement dépendants des écosystèmes qui nous entourent. Donc, détruire la nature met notre vie en danger…
La terre nous nourit, les arbres purifient l’air que nous respirons en absorbant le dioxyde de carbone généré, en grande partie, par les activités humaines. Et savez-vous que les plantes marines produisent plus de la moitié de l’oxygène de notre atmosphère ! Quant au monde animal, il joue un rôle essentiel dans l’équilibre des écosystèmes.
Parallèlement, l’émergence de la Covid-19 a mis en évidence que la destruction de la biodiversité favorise la transmission des maladies infectieuses des animaux aux hommes. Une constatation qui s’était déjà imposée lors de précédentes épidémies comme le virus Ebola, la grippe aviaire, le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), le syndrome respiratoire aigu soudain (SRAS), le virus du Nil occidental…
La biodiversité en danger
Qu’appelle-t-on la biodiversité ? Il s’agit des quelque 8 millions d’espèces présentes sur la planète. À savoir, les plantes comme les animaux, les champignons comme les bactéries, ainsi que les écosystèmes où ils vivent, c’est-à-dire les forêts, les océans, les régions montagneuses et les récifs coralliens.
À l’occasion de cette journée mondiale de l’environnement, l’Organisation des Nations-Unies a rappelé qu’un million d’espèces végétales et animales sont menacées d’extinction. Et ce, principalement, à cause des activités humaines. Autre réalité alarmante, la couverture des récifs coralliens a diminué de moitié au cours des 150 dernières années.
CHIMIREC agit en faveur de la biodiversité
À son niveau, le Groupe CHIMIREC mène des actions de préservation et de développement de la biodiversité.
Tout d’abord, en amont de l’implantation de ses activités sur un nouveau site, l’entreprise mène des études d’observation de l’écosystème présent afin de mettre en oeuvre toutes les mesures appropriées à sa protection.
Par ailleurs, des initiatives de biodiversité sont menées par plusieurs filiales CHIMIREC. C’est le cas, notamment , de CHIMIREC Valrecoise dont le site est installé en pleine nature et qui a confié à un bouc et une biquette le soin de désherber les zones difficiles d’accès ! Comme chacun sait, l’éco-pâturage, c’est bon pour préserver la biodiversité. Cette filiale a aussi mis en place trois ruches qui, à l’automne 2019, ont fourni une récolte de 70 kilos de miel. Profitant de la présence des abeilles dont le butinage constitue un excellent indicateur de pollution, CHIMIREC Valrecoise vient de signer un contrat de biosurveillance avec une entreprise spécialisée. D’autres projets se profilent comme des nichoirs pour les oiseaux et un hôtel à insectes !
Tout récemment, CHIMIREC PPM a également installé deux ruches sur son site, dont la récolte de miel est attendue pour le mois de septembre.
Pour ce qui est de CHIMIREC Est, ce fut, en premier lieu, l’aménagement d’un bassin à poissons. Puis l’équipe s’est mobilisée pour faire pousser un potager participatif et planter des arbres fruitiers.
Enfin, depuis 2018, le Groupe CHIMIREC s’est engagé dans un projet de reforestation conduit par Eco-Tree. Plus de 1 000 sapins Douglas ont déjà été plantés, contribuant ainsi au reboisement de la forêt de Palotas située dans la Creuse et à la compensation de l’empreinte carbone du Groupe.
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