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Sur le terrain de la biodiversité, CHIMIREC s’engage et agit

protéger la biodiversité

Actus Chimirec

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Sur le terrain de la biodiversité, CHIMIREC s’engage et agit

Triplement certifié Qualité Sécurité Environnement depuis 2012, le Groupe CHIMIREC est de longue date engagé dans la préservation de l’environnement, et, donc, de la biodiversité. L’implantation de ses nouveaux sites, l’extension ou la modification des sites existants, font l’objet d’études d’impact environnemental suivies d’actions menées en faveur de la sauvegarde de la biodiversité.

La séquence « ERC », vous connaissez ?

Non ? À votre décharge, c’est une affaire de spécialistes ! Comme, par exemple, les équipes du service Qualité Sécurité Environnement du Groupe CHIMIREC.
Ce qu’on appelle la séquence « ERC » signifie « Éviter, Réduire, Compenser ». Elle s’applique à l’ensemble des thématiques environnementales (sols, eau, air, climat, paysage, biodiversité, etc.), dans le cadre de projets, plans et programmes soumis à diverses procédures administratives d’autorisation au titre du code de l’environnement.
Le ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, en donne les définitions suivantes :

« E », pour Éviter
Une mesure d’évitement modifie un projet afin de supprimer un impact négatif que ce projet engendrait.

« R », pour Réduire
Une mesure de réduction vise à réduire autant que possible la durée, l’intensité et/ou l’étendue des impacts d’un projet qui ne peuvent pas être complètement évités.

« C », pour Compenser
Une mesure compensatoire a pour objet d’apporter une contrepartie aux effets négatifs notables, directs ou indirects du projet qui n’ont pu être évités ou suffisamment réduits.


Des diagnostics aux actions

Ainsi, pour chaque projet, le Groupe CHIMIREC confie à un bureau d’études spécialisé dans les domaines de la faune, la flore, les habitats et les zones humides, le soin d’établir un diagnostic sur les enjeux de biodiversité présents sur le site. De ses résultats découlent les mesures de préservation à mettre en place, dont voici quelques exemples :

  • Pour les mesures d’Évitement

    L’aménagement prévu initialement peut être modifié pour éviter les impacts sur l’écosystème de la faune et de la flore, notamment dans les zones humides identifiées par les bureaux d’études.
    Les plannings de chantier peuvent être aménagés pour préserver les espèces recensées lors des diagnostics, particulièrement lors des périodes d’hivernation et d’hibernation et de reproduction.
    Les habitats recensés (blocs bétons pour le lézard des murailles, haies limitrophes, arbres, etc.) peuvent être conservés, dans la mesure du possible.
    L’utilisation des produits phytosanitaires est proscrite sur les sites.

 

  • Pour les mesures de Réduction

    La plantation de haies multistrates composées de végétaux endémiques au profit de l’avifaune.
    La préservation des pieds, fruits ou graines de chaque espèce rare pour une réimplantation dans les futurs espaces verts aménagés sur les sites.
    La réduction des nuisances lumineuses.

 

  • Pour les mesures de Compensation

    La création d’abris pour la faune afin de maintenir les populations recensées sur les sites lors des diagnostics.
    La plantation de nouvelles haies sur les sites ou sur les territoires communaux avec accord de la municipalité.
    L’aménagement d’espaces verts en gestion différenciée favorable à l’accueil, la reproduction et la nidification des oiseaux.
    L’installation de nichoirs.


Et d’autres actions spécifiques menées par CHIMIREC

  • L’aménagement paysager réalisé en bordure du site de CHIMIREC Delvert (86).
  • La biosurveillance par les abeilles, la production de miel et l’éco-pâturage dans les zones difficiles d’accès sur le site de CHIMIREC Valrecoise (60).
  • L’aménagement d’un bassin à poissons entouré d’un espace paysager, puis la création d’un potager et d’un verger participatifs sur le site de CHIMIREC Est.
  • La contribution financière apportée au repeuplement de l’anguille dans la Loire par la filiale ARETZIA.

 

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